Pyramide cosmo-magnétique

Nous ne pouvons pas le présenter mieux qu’en redonnant la parole au chercheur radiesthésiste Enel dont nous avons cité au chapitre précédent l’ouvrage « Radiations des formes et cancer » paru aux Editions Dangles. Notons aussi que Enel était féru d’égyptologie. Il fut entre autres, l’auteur de l’ouvrage : « La médecine au temps des pharaons ».

Au bas de la page 58, nous lisons :

« Mais ce que personne n’a pu expliquer d’une manière satisfaisante, c’est la présence au-dessus de a chambre dite du roi de quatre énormes pierres superposées, à une certaine distance l’une au-dessus de l’autre, et e tout recouvert d’une sorte de toit.

L’hypothèse que cette étrange structure fut aménagée pour alléger la pression de l’édifice sur la chambre du roi est purement enfantine. La voûte du couloir en pente qui mène vers cette chambre aurait bien plus besoin d’être renforcée, car elle porte dans toute sa longueur le poids énorme de tout l’édifice. Et pourtant rien de pareil n’y a été prévu.

Non, cette étrange structure au-dessus du sarcophage qui n’était nullement nécessaire du point de vue architectural avait un tout autre but et ce but était très précis.

Le pendule révèle que le sarcophage entier est sous le rayonnement constant du Vert – émis tant par la forme entière de la pyramide que concentré par a structure au-dessus de a chambre royale, qui est formée de quatre éléments identiques superposés formant pile. Le rayon que ces quatre éléments émettent n’est pas suffisant pour momifier ou nuire à la santé d’un être vivant, mais au contraire peut être employé soit dans un but curatif, soit pour produire un autre effet, dont l’explication m’entraînerait trop loin du but de l’ouvrage.

Chaumery et Bélizal ont bien compris la raison de l’installation de cet appareil dans le corps de la Grande Pyramide constituant un puissant poste émetteur de rayons radiesthésiques. D’après eux, les anciens Egyptiens, qui ne connaissaient pas l’usage de la boussole, s’aventuraient dans leurs voyages autant en mer que dans le désert en captant le rayon émis par la pyramide.

Je m’arrête ici et je récapitule les points essentiels dont le lecteur doit se souvenir :

1°) La forme pyramidale émet un rayonnement particulier

2°) Quatre éléments de préférence en forme de pyramide ou hémisphères renversés mais tous identiques constituent une batterie qui émet continuellement l’onde mystérieuse que nous avons appelé le Vert -. »

De cette longue citation, il ressort que le vrai pouvoir de la Pyramide, en référence à celle de Kéops, ne peut être obtenu par une pyramide seule, mais seulement par une pyramide incluant dans la partie supérieure de son axe vertical central une pile également émetrice constituée de quatre éléments semblables.

C’est donc exactement ce qu’est notre émetteur-inclusion pyramidal. Il réalise en lui-même un objet d’actions radioniques qui correspond énergétiquement à ce qu’est en gigantesque la Grande Pyramide de Kéops en Egypte. Tout ce qui a fasciné en elle, les chercheurs radiesthésistes se retrouve ici, et son potentiel d’action est devenu complet, ce qui n’est pas le cas pour toute les reproductions faites avec la forme pyramidale seule. La meilleure forme pyramidale seule ne peut donner que ce qu’elle a : un pouvoir partiel car privé du second élément radiant à quatre éléments que les Egyptiens n’avaient pas conçu et disposé sans raisons. Nous pensons que les deux pouvoirs : pouvoir de a pyramide, et pouvoir de la pile des quatre éléments ne s’ajoutent pas mais se multiplient par la logique même de la disposition du second pouvoir sis dans le cœur du premier. Il y a là multiplication, ou union, ou fécondation… Cette fusion de deux éléments complémentaires étant à la base même du processus de la vie, cela , n’indique-t-il pas aux expérimentateurs inspirés dans leurs recherches que des ondes de vie pourrait être émises par ce dispositif complet ?

C’est personnellement ce que nous pensons.

L’occasion est ici donnée de faire une petite digression pour mentionner que dans un ouvrage de Enel que nous avons aujourd’hui perdu, cet auteur s’écartant alors de la pensée d’Andrée de Bélizal, faisait grâce à certaines expériences de décomposition spectrale des énergies contenues entre le Noir et le Blanc, un distingo entre le Vert- de Chaumery, et un plus mystérieux rayon baptisé OMEGA. Alors que le Vert- momifie, ce rayon OMEGA contenu dans a pyramide permet de garder des fleurs dans un état non séché donc non momifié. Une permanence de fraicheur, avait-il constaté. Personnellement, nous n’en savons pas plus qu’au temps de notre première lecture, mais nous avons cru bon de le signaler. Pour un passionné, peut-être…

Ajoutons aussi que dans le lot des quatre inclusions que nous avons créées et qui sont présentées dans ce second ouvrage, les inclusions pyramidale et dodécaédriques sont les seules à positionner verticalement le pendentif intérieur. Cela devrait conférer un « plus » à leurs possibilités. Peut-être justement la découverte potentiellement contenue de la production d’ondes de vie ?

Après avoir, pensons-nous, alléché par cette présentation le futur chercheur, nous allons aborder l’exposé pratique. Nous allons le traiter en trois domaines...

Dimensions

Hauteur 8.2 cm

Base 5.1 cm

Poids 103 grammes

Cette pyramide, est :

D'une part actualisée aux nouvelles énergies,

Et d'autre part, en phase avec le nombre d'or.

Elle bénéficie d'un parfait équilibre et d'une efficacité exceptionnelle.